Enseigne partagée par Chauvin et Guichardaz, probablement acquise auprès de Julian.
Enseigne d'I. Carrau, Carrau-Desangles.
Enseigne fondée par Ange Ottoz père.
Cette enseigne, crée par Ottoz frères, est une évocation de celle d'Ange Ottoz : A la Fontaine Gaillon.
Enseigne fondée par Étienne Rey.
L'enseigne semble avoir été crée par Leroy, avant d'être perpétuée par Saint-Martin, Périgaud, puis Pinson.
Enseigne de Wattin attestée en 1773. Variante en 1775 ; À la Renommée.
Enseigne adoptée par divers commerces au cours d'une longue période, tant à Paris qu'en province.
Enseigne de Chatriot, Chatriot et Labrosse, Sorré.
Enseigne de la maison Léro, Happert, Roche, Picou.
Enseigne de Niodot, attestée dès 1769, reprise par son gendre Enguehard.
Enseigne de Panier. Cette enseigne est empruntée par d'autres commerces, à Marseilles dans les années 1830.
Enseigne créée par les fondateurs de la maison Haro, sur la suggestion d'Eugène Delacroix selon le témoignage tardif de la fondatrice.
Enseigne de Niodot fils, avec la variante Au Griffon d'Or. La mêrme enseigne Au Griffon est attestée chez d'autres papetiers, comme Cabaret, Prud'homme (s.d.), et Derongé (1833).
Enseigne de Niodot fils, avec la variante Au Griffon d'Or. La mêrme enseigne Au Griffon est attestée chez d'autres papetiers, comme Cabaret, Prud'homme (s.d.), et Derongé (1833).
Enseigne des débuts de l'activité de Colson, alors qu'il est peintre en bâtiments, décorateur et restaurateur d'appartements.
Enseigne de Colcomb (James), Colcomb-Bourgeois, Colcomb (L.), Poignant.
Enseigne de Bazé, puis Bertrand.